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FAQ coronavirus

Milieux d'Accueil

Les autorités fédérales renvoient à la responsabilité individuelle de chaque voyageur. Les voyages en dehors de l’Europe restent fortement déconseillés par les autorités.

Conséquences pour le MA :

Retour zone verte/orange: Aucune mesure particulière l’enfant peut fréquenter le MA.

Retour zone rouge en Europe: pas de test mais quarantaine au retour si le parent doit être testé en attente du résultat du test. L’enfant peut fréquenter le MA sauf si le résultat du test du parent ou d’un membre de la famille est positif.

Retour pays zone rouge hors Europe/ pays à haut risque (VOC) : quarantaine et test obligatoire. La liste des pays concernés étant évolutive, il appartient aux parents de se renseigner. L’enfant ne viendra pas dans le MA en attente du résultat du test du parent. Si celui-ci est négatif, l’enfant peut réintégrer le MA. Les enfants de moins de 12 ans ne doivent pas être testés. Un certificat de quarantaine sera établi et transmis au MA pour justifier l’absence.

Plus d'informations et la liste des zones et leur code couleur se trouvent sur le site de Infocoronavirus : www.info-coronavirus.be/fr/code-couleur-par-pays/

Pour les pays avec un risque élevé de variants préoccupants (VOC), des mesures spécifiques sont d'application (avec restriction de voyage). La liste de ces pays est publiée sur le site Info-Coronavirus (www.info-coronavirus.be/fr/pays-a-haut-risque/) et est mise à jour chaque semaine.

 

Nous vous rappelons qu’il est de la responsabilité des parents d’appliquer les mesures décidées par les autorités belges. Il n’appartient donc ni à l’ONE, ni aux milieux d’accueil, d’intervenir dans une quelconque vérification de l’application de ces mesures ou d’aller plus loin que celles-ci.

Les professionnels d’un MA ne sont donc pas autorisés à demander une « preuve » (de vaccination ou un test négatif ou un certificat de rétablissement) aux familles qui auraient voyager.

Les professionnels du milieu d’accueil doivent porter le masque dans les lieux communs (couloirs, vestibule…) et lors de l’accueil des parents (matin et soir) quelle que soit la distance physique observée entre eux. En section, en présence des enfants, le port du masque n’est pas recommandé mais la distanciation physique entre puéricultrices est indispensable.

Le port du masque est toutefois recommandé en section dans les situations suivantes :

Lorsque vous êtes en contact avec d’autres membres du personnel à moins d’1.5 m de distance dans une zone commune du milieu d’accueil (local réservé au personnel, salle de réunion, couloirs, …)

Lorsqu’un membre du personnel doit exceptionnellement prendre en charge des enfants d’une autre section durant la journée

Lors de la présence d’un parent pour la familiarisation

Les personnes extérieures autorisées à fréquenter le milieu d’accueil ainsi que les stagiaires devront porter le masque de manière permanente.

N.B : Les membres du personnel faisant partie des personnes à risque devront consulter leur médecin du travail/médecin traitant. S’ils sont autorisés à travailler, ils devront porter un masque chirurgical dans le milieu d’accueil et en section, en présence d’adultes et d’enfants.

Le port du masque complète les gestes barrière mais ne se substitue en aucun cas aux autres mesures d’hygiène.

  1. Collecter des informations auprès du membre du personnel COVID-19 positif : date de début des symptômes, dernier jour de travail, nature de ses contacts avec les collègues et enfants. Cela permettra d’estimer les mesures à prendre pour la collectivité.
  2. A l’égard des enfants : contacter votre médecin de structure ou le référent santé via le formulaire de demande en ligne. Ces derniers vous guideront pour le tracing et les mesures à prendre.
  3. A l’égard des travailleurs : contacter la médecine du travail qui évaluera avec vous la manière d’estimer les contacts entre membres du personnel. Ce sera également de la responsabilité de la médecine du travail d’estimer si le personnel doit être testé.
  4. Si la situation a été gérée par votre médecin de structure, n’oubliez pas de notifier la situation via le formulaire de demande en ligne ainsi qu’à votre coordinateur accueil.

Pour en savoir plus, prenez connaissance des mesures de gestion de cas.

Vous avez eu un contact à haut risque si votre contact avec cette personne a duré plus de 15 minutes et était proche (moins d’1,5m de distance) et que l’un de vous ne portait pas le masque adéquatement.  Par exemple : une personne qui vit sous le même toit que vous, un collègue assis près de vous au bureau, un ami ou une amie de l’école. Dans ce cas, voici ce qu’il va se passer :

Vous devez vous placer en quarantaine à la maison et vous faire tester.

Durant votre quarantaine, vous ne pouvez pas aller travailler à l’extérieur de chez vous mais vous pouvez faire du télétravail si cela est possible. Vous pouvez sortir dans votre jardin, sur votre terrasse et aller jusqu’à votre boite aux lettres. Vous pouvez quitter votre logement pour des achats essentiels, comme l’alimentation ou les médicaments. Vous devez porter un masque et éviter les contacts avec les autres. Vous ne pouvez pas recevoir de visites à votre domicile ni rendre visite à quelqu’un. Vous devez appeler votre médecin généraliste si vous développez des symptômes.

La durée de la quarantaine dépendra de votre statut vaccinal :

  • Si vous êtes vacciné, vous devez être testé entre le jour 3 et le jour 6 de préférence au jour 5. Sortie de quarantaine, si le résultat du test PCR est négatif, ou avant, à partir du jour 4, si autotest négatif réalisé quotidiennement jusqu’au résultat du test PCR.
  • Si vous n’êtes pas vacciné : vous devez observer une quarantaine durant 10 jours et être testés à deux reprises : au jour 1 et au jour 7 de la quarantaine (même si le résultat du premier test est négatif). Vous pouvez sortir de quarantaine, si le résultat du test au jour 7 est négatif.
  • Pour les personnes ayant été infectés dans les 180 jours précédents : pas de quarantaine ni de test sauf si la personne a des symptômes.

Si le résultat d’un des tests est positif, l’isolement à domicile est prolongé de 10 jours à compter de la date du prélèvement.

En l’absence de test (impossibilité ou refus), la personne reste en quarantaine durant 10 jours après le contact.

Pendant les 14 jours après le dernier contact à risque, il est recommandé d’éviter les contacts avec les personnes vulnérables et groupes à risque (dont les grands-parents de +65 ans).

 

Vous avez eu un contact à bas risque si votre contact a été très bref, par exemple avec un collègue assis loin de vous au bureau. Dans ce cas, voici ce que vous pouvez faire :

  • Privilégiez le télétravail. Si ce n’est pas possible, vous pouvez aller travailler ou aller à l’école mais en portant un masque.
  • Limitez vos contacts physiques autant que possible. Parlez avec votre famille et vos amis via des applications en ligne. Faites particulièrement attention pendant les 14 jours suivants à garder suffisamment de distance.
  • Lavez-vous les mains soigneusement et souvent.
  • Portez un masque lorsque vous quittez la maison.
  • Appelez votre médecin généraliste et isolez-vous si vous présentez des symptômes.

Tant que vous n’êtes pas testé positif au COVID-19, il n’y a pas de mesures particulières à prendre pour les personnes qui vivent sous le même toit.

Les enfants du même ménage qu'un cas de COVID-19 sont considérés comme des contacts à haut risque d'infection et doivent rester en quarantaine. Ils ne doivent pas être systématiquement testés et ce même s’ils développent des symptômes au cours de leur quarantaine.

Il existe deux cas de figure lorsqu’un cohabitant est testé positif :

L’enfant reste en quarantaine jusqu’à ce que le membre de la famille infecté ait été autorisé à mettre fin à son isolement à domicile et si enfant testé négatif à cette date. L’enfant devra également être testé 7 jours après la sortie de quarantaine. Éviter les contacts avec les personnes vulnérables et groupes à risque (dont les grands-parents + 65 ans) pendant 14 jours après le dernier contact à risque. Si pas de test  enfant reste en quarantaine jusqu’à 10 jours après la fin de l’isolement du cohabitant.

Si l’enfant n’est pas testé, la quarantaine sera prolongée de 10 jours après la fin de la période d’isolement du cohabitant.

Si l’enfant développe des symptômes pendant la quarantaine, il ne doit pas être testé et sera considéré par le médecin traitant comme un cas confirmé de COVID-19. Il pourra revenir en milieu d’accueil, 10 jours après l’apparition des symptômes à condition d’être sans fièvre les 3 derniers jours et avec une amélioration considérable des symptômes.

Un certificat de quarantaine sera demandé au retour de l’enfant de <6 ans.

Pendant les 14 jours après le dernier contact à risque il est recommandé d’éviter les contacts avec les personnes vulnérables et groupes à risque (dont les grands-parents).

Le port du masque chez des enfants en bas-âge et enfants de moins de 6 ans n’est pas recommandé. Il peut s'avérer dangereux chez les plus petits (p.ex. risque d'étouffement chez les moins de 2 ans).

 Le port du masque est obligatoire dès l'âge de 6 ans dans toutes une série de lieux publics, notamment dans les espaces intérieurs des écoles et de l’accueil extrascolaire. Pour plus d'informations sur le port du masque, vous pouvez vous référer au site info-coronavirus. 

Si vous présentez un des symptômes liés au coronavirus, isolez-vous à la maison et faites-vous tester dans un centre de test ou en pharmacie. Dans ce cas la démarche est la suivante :

Isolez-vous à la maison.

Essayez de faire une liste des personnes avec lesquelles vous avez eu des contacts au cours des deux jours précédant vos symptômes (par exemple : les membres de votre famille, vos collègues, un ami ou une amie avec lequel/laquelle vous avez fait une promenade, le facteur à qui vous avez parlé, …).

Si cela est possible, votre liste devrait reprendre, si vous les connaissez, le nom, le numéro de téléphone, l’adresse postale, la date de naissance, et l’adresse email de ces personnes de contact.

Si le résultat est positif, vous et vos contacts recevrez un appel ou une visite d’un collaborateur des autorités et le tracing débutera.

Il est important que vous répondiez à ses questions de la manière la plus complète possible :

Il ou elle vous demandera la liste des personnes de contact que vous aurez constituée.

Vous devrez également donner des informations sur vous-même, pour que votre situation puisse être évaluée concrètement : votre date de naissance, votre état de santé général, votre emploi, vos contacts avec des personnes à risques, etc.

Ces données seront traitées en toute confidentialité (voir question ci-dessous). Grâce à votre collaboration, les personnes avec lesquelles vous aurez eu des contacts seront averties à temps et pourront être vigilant à l’apparition d’éventuels symptômes.

Pour accélérer le processus de recherche des contacts, un outil en ligne est maintenant disponible. Grâce à cet outil, le cas index (la personne testée positive et seulement elle) peut désormais signaler ses contacts (adultes et enfants) à haut risque en ligne via :

  • Le formulaire de signalement de contacts à haut risque se trouvant sur le site officiel masante.belgique.be
  • En cas de questions sur le formulaire (problème de connexion ou utilisation des données personnelles), vous pouvez consulter la FAQ de mansante.belgique.be

Pour plus d’infos, consultez le site info-coronavirus.be

Accueil petite enfance

Les parents sont tenus de justifier les absences de leur enfant et de payer la participation financière prévue dans le contrat d’accueil.

Néanmoins, vu le contexte de la crise, certaines situations peuvent faire l’objet d’une demande d’absence justifiée des parents au milieu d’accueil de leur enfant. Dans ces différentes situations, aucune participation financière n’est due par les parents. Il s’agit : 

  • D’une justification sanitaire, si l’enfant ne peut fréquenter le milieu d’accueil en raison d’une infection au Covid-19 attestée par un médecin, d’une décision de mise en quarantaine ou d’une situation attestée par un certificat médical de personne à risque de l’enfant ou d’une personne vivant avec lui dans le contexte de la pandémie de Covid-19.
     
  • D’une justification organisationnelle si l’enfant de peut fréquenter le milieu d’accueil en raison de difficultés pratiques objectives qui ne permettent pas aux parents d’amener l’enfant dans le milieu d’accueil ou le permettent, mais moyennant des modalités d’organisation manifestement disproportionnées.

Par ailleurs, des possibilités de réduction de la participation financière sont également prévues dans le cas d’une diminution des revenus des parents liée à la crise du covid 19 (voir FAQ : Dans quel cas et comment les parents peuvent-ils bénéficier d’une réduction ou d’une suppression de leur participation financière au coût de l’accueil ?).

Vous trouverez plus d’informations sur ces mesures dans la communication aux milieux d’accueil de la petite enfance relative aux adaptations des participations financières parentales.

Du 18 mai au 31 août 2020 et du 1er octobre 2020 au 30 juin 2021, les parents dont l’enfant est inscrit dans le milieu d’accueil peuvent introduire une demande d’adaptation de la participation financière COVID 19 telle qu’elle résulte des dispositions régissant l’accueil de l’enfant en la fondant sur les justifications décrites ci-dessous.

Les parents sont tenus d’avertir le milieu d’accueil dans les meilleurs délais de la fin de la cause de justification.

  • Justifications financières : La participation financière parentale est revue à la demande des parents si en raison des circonstances exceptionnelles liées à la crise du covid 19 les parents ont vu leurs revenus baisser de plus de 10% par rapport à la situation qui prévalait au moment de l’établissement du montant de la participation financière parentale ou de la dernière révision de celle-ci conformément aux dispositions contractuelles entre les parents et le pouvoir organisateur. Il s’agit donc de baisse de revenus subies en conséquence de la crise du Covid-19 est toujours subie au moment de l’introduction de la demande.
     
  • Justification sanitaire : La participation financière parentale est annulée à la demande des parents si leur enfant ne peut fréquenter le milieu d’accueil en raison d’une infection au Covid-19 attestée par un médecin, d’une décision de mise en quarantaine ou d’une situation attestée par certificat médical de personne à risque de l’enfant ou d’une des personnes vivant avec lui dans le contexte de la pandémie de Covid-19.
     
  • Justification organisationnelle : La participation financière parentale est annulée à la demande des parents si en raison des circonstances exceptionnelles liées à la crise du covid 19 leur enfant ne peut fréquenter le milieu d’accueil en raison de difficultés pratiques objectives qui ne permettent pas aux parents d’amener l’enfant dans le milieu d’accueil ou le permettent, mais moyennant des modalités d’organisation manifestement disproportionnées.

Le parent adresse sa demande dûment complétée et signée au pouvoir organisateur de son milieu d’accueil ou à son accueillante d’enfants indépendante au moyen du formulaire unique ONE et en joignant les documents justificatifs prévus par celui-ci selon le type de justification invoquée.

Sur la base de la demande, le pouvoir organisateur ou l’accueillante indépendante d’enfants répond au parent au moyen du modèle de courrier prévu à cet effet.

Lorsque la cause de justification a pris fin, la participation financière parentale normale découlant des dispositions contractuelles est à nouveau exigée à partir de la 1ère facturation, du premier paiement qui suit la fin de la cause de justification.

Vous trouverez plus d’information sur ces mesures dans la communication aux milieux d’accueil de la petite enfance relative aux adaptations des participations financières parentales.

Vous trouverez toutes les informations utiles sur le calcul de l’indemnité et les conditions d’octroi via le portail pro.one.be. Concernant l'utilisation du portail, vous pouvez consulter la FAQ pro.one.

L’intervention ONE est de maximum 16 euros par jour et par enfant et ce au prorata du temps d’accueil tel que prévu dans le contrat d’accueil.

Dans les cas d’adaptation pour justification sanitaire ou organisationnelle, l’intervention est plafonnée au montant de la participation financière prévues par les dispositions contractuelles.

Dans les cas d’adaptation pour justification financière, l’intervention est plafonnée au montant de la participation demeurant à charge des parents après adaptation.

Toutes les informations nécessaires relative à l’intervention de l’ONE se trouve dans la communication aux milieux d’accueil de la petite enfance relative aux adaptations des participations financières parentales.

PSE : Gestion des cas et des contacts

Dans le cadre de la nouvelle procédure de tracing miss en place avec les call center AVIQ/COCOM, la recherche des contacts à haut risque au sein des collectivités est faite autour du cas index.

Lorsque le call center contact le cas index ou son tuteur légal, il établit à partir des déclarations du cas index la liste des contacts à haut risque dans tous les milieux de vie afin que ces derniers reçoivent des codes de tests et un certificat de quarantaine. Pour que cette identification soit efficiente, il est important de connaitre la définition d’un contact à faible risque et à haut risque et de disposer des coordonnées des contacts à haut risque.

La procédure prévoit que le cas index puisse fixer un rendez-vous avec le call center pour être rappelé s’il ne dispose pas de toutes les coordonnées au moment où il est contacté. De plus, une personne se considérant ou considérant sont enfant comme contact à haut risque mais n’ayant pas été identifié comme tel, peut prendre contact avec le cas index afin qu’il puisse être ajouté par le call center à la liste des contacts à haut risque.

Pour les enfants de moins de 12 ans, les mesures actuelles sont : un test le plus tôt possible et un test le 7ème jour du dernier contact à risque. La quarantaine est de 10 jours mais elle peut être écourtée, si le résultat du premier test est négatif.

 

Pour les élèves de secondaire et du supérieur non universitaire, les règles sont les mêmes que dans la population générale et elles tiennent compte du statut vaccinal :

  • Pour les personnes vaccinées, un test est à réaliser le plus tôt possible et à J7 du dernier contact à risque. La quarantaine peut être levée, si le résultat du premier test est négatif.
  • Pour les personnes pas ou pas complètement vaccinées, un test est à réaliser dans les 3 jours du dernier contact à risque et le 7ème jour du dernier contact à risque. La quarantaine de 10 jours pourra être écourtée si le résultat du deuxième test (J7) est négatif.

 

Tous les élèves ayant eu une infection récente (<180 jours) avec certificat de rétablissement ne doivent pas effectuer de testing ou de quarantaine.

Le script additionnel mis en place dans cette nouvelle procédure prévoit de déterminer en maternelle et en primaire s’il s’agit du premier cas au cours d’une période de 7 jours. Lorsqu’il s’agit bien d’un premier cas, les contacts à haut risque ne sont pas investigués car les enfants et/ou les encadrants sont considérés comme à faible risque

Les call centers régionaux notifient les cas aux équipes PSE via :

Le système Sharepoint en région bruxelloise.

Les données partagées sur les cas index sont le numéro NISS, la date de naissance du cas, la date de résultat du test, le nom et l’implantation de l’école.

Des fichiers sont partagés sur ce sharepoint deux fois par jour en fonction des tickets 1B générés suite à la prise de contact du call center avec les cas index. Un fichier est généré à 1h du matin avec les scripts 1B créés entre midi et minuit et un fichier est généré à 13h avec les scripts 1B créés entre minuit et midi.

Share point région bruxelloise : comment y accéder ?

La procédure de connexion se fait suite à la réception du lien par email (la procédure de connexion est complètement expliquée pas à pas sur le site lors de la première connexion) :

  1. Cliquer sur le lien reçu
  2. Un code à 8 chiffres est envoyé par mail, l’ajouter
  3. Une demande d’Authentification via Microsoft authentificator va être demandée, il faut l’ajouter
  4. Une fois ajoutée, il suffit de valider l’authentification pour accéder au dossier

Les dossiers sont nommés comme suit :

Code Antenne – Nom PSE

Exemple : 1234 - Service PSE d’Houtsiplou

 

La plateforme Plasma en région wallonne

Celle-ci sera en application très prochainement ; actuellement, le call center informe les équipes PSE par téléphone.

Cette interface permet aux équipes PSE de recevoir « au fil de l’eau » les informations concernant les cas index (numéro NISS, la date de naissance du cas, la date de résultat du test, le nom et l’implantation de l’école) en fonction des tickets 1B créés par les agents du call center lors de la prise de contact avec les cas index.

Interface Plasma en Région wallonne : procédure

  • Publication par le call center d’un rapport à destination des PSE sur Plasma, ce rapport contiendra les informations suivantes :
    • le nom des patients index
    • le prénom des patients index
    • la date de naissance des patients index
    • Le NISS des patients index
    • La date de la réalisation du test
    • Le nom de l’école
    • L’adresse de l’implantation scolaire
  • Envoi d’un email aux personnes liées au PSE en indiquant qu’un nouveau rapport a été déposé sur la plateforme.
  • Les personnes peuvent se connecter avec eid ou itsme sur plasma pour télécharger le rapport.

Pour les contacts familiaux, un premier test est réalisé le plus tôt possible après l'identification et un second test est effectué 7 jours après la dernière exposition. Si la personne ne peut pas s'isoler complètement du cas index (p.ex. si le cas index est un enfant jeune), la dernière exposition ne sera qu'à la fin du période d'isolement du cas index. Le deuxième test sera alors fait 17 jours après le début des symptômes (ou le test positif) du cas index. Toutefois, la quarantaine prend fin après le premier test négatif.

Lorsqu’un membre du personnel encadrant est un cas index, le call center prend contact avec ce dernier. En fonction du niveau dans lequel il enseigne, une classification du risque est établie pour les élèves (Voir FAQ’s suivantes). Le membre du personnel doit renseigner les noms et coordonnées des élèves qu’il identifie comme contact à haut risque auprès du call center.

Le call center informe ensuite la médecine du travail et celle-ci informe à son tour la direction de l’école.  Enfin, la direction de l’école informe l’équipe PSE afin qu’elle puisse avoir une image globale de la situation sanitaire au sein de la collectivité.

Lorsqu’un encadrant est positif à l’école maternelle, les enfants de sa classe/groupe sont considérés comme contacts à haut risque au vu de l’absence de distance et de port du masque.

Dès lors, les mesures appliquées sont : mise en place d’une quarantaine de 10 jours à partir du dernier contact à risque et réalisation de deux tests : un le plus rapidement possible et l’autre le 7ème jour du dernier contact à risque. Une sortie de la quarantaine est possible si le résultat du test à J1 est négatif. Mais il faut poursuivre la période de vigilance jusqu’au 14ème jour du dernier contact (surveiller les symptômes et ne pas fréquenter de personnes vulnérables, par exemple les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

En primaire, les membres du personnel encadrant portent le masque et garde la distance autant que possible avec les enfants. Si c’est le cas, ils seront considérés comme à faible risque. Néanmoins, si les règles de distanciation n’ont pas été respectées, les enfants ayant eu une exposition de plus de 15 minutes à une distance inférieure à 1,5 m sont considérés comme des contacts à haut risque. Dans ce cas, les mesures appliquées sont : mise en place d’une quarantaine de 10 jours à partir du dernier contact à risque et réalisation de deux tests : un le plus rapidement possible et l’autre le 7ème jour du dernier contact à risque. Une sortie de la quarantaine est possible si le résultat du test à J1 est négatif. Mais il faut poursuivre la période de vigilance jusqu’au 14ème jour du dernier contact (surveiller les symptômes et ne pas fréquenter de personnes vulnérables, par exemple les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

Dans le secondaire et en Haute Ecole, en principe les élèves sont considérés comme faible risque car le port du masque est obligatoire pour les membres du personnel et les élèves. Néanmoins, si des élèves sont considérés comme à haut risque, les procédures concernant le testing et la quarantaine sont celles s’appliquant dans la population générale en fonction du statut vaccinal :

  • Pour les personnes vaccinées : test le plus rapidement possible et à J7 du dernier contact à risque, quarantaine de 10 jours avec une possibilité de mettre fin à l’isolement si le premier test est négatif.
  • Pour les personnes pas ou pas complètement vaccinées : test le plus tôt possible (<72h) et à J7 du dernier contact à risque, quarantaine de 10 jours avec une possibilité d’écourter la quarantaine si le deuxième test à J7 est négatif.
  • Sans tests, la quarantaine est de 10 jours
  • Les personnes ayant une infection récente (<180 jours) avec certificat de rétablissement ne doivent pas réaliser de tests ou de quarantaine.
  • Il faut poursuivre la période de vigilance jusqu’au 14ème jour du dernier contact (surveiller les symptômes et ne pas fréquenter de personnes vulnérables, par exemple les grands-parents de plus de 65 ans ou les personnes porteuses de maladies chroniques).

Les cas transfrontaliers sont traités au travers de l’Early Warning and Response System (EWRS), le système d'alerte précoce et de réaction aux maladies transmissibles dans l'Union européenne. Ce sont les autorités étrangères (ex : la France) qui informent le pays « contact à haut risque » (la Belgique) de la positivité du cas index. Ensuite, c’est le call center qui gère le suivi. Le délai de prise en charge est dépendant de la transmission de l’information par les autorités étrangères. Ce qui peut être plus ou moins long en fonction de la recrudescence de l’épidémie. Néanmoins, la prise en charge de ces situations peuvent être accélérées si le cas index informe lui-même le call center belge de sa positivité. 

L’Emergency Brake (EB) est une mesure d’urgence qui vise à freiner la circulation du virus en fermant complètement la classe.

La mesure d’EB est mise en place à partir de 4 cas ou 25% de cas positifs au sein d’une classe. Le monitoring des cas effectué par l’équipe PSE permet de déterminer quand ce taux est atteint et elles prennent alors la décision de fermer de la classe.

Un courrier signé par l’équipe PSE est transmis aux parents afin de les informer de la situation et leur expliciter la démarche à suivre, à savoir : quarantaine de 10 jours et test PCR à J7 après la fermeture de la classe. La quarantaine peut être écourtée si le résultat du test est négatif.

  • En région bruxelloise :  la lettre de l’équipe PSE permet aux parents de prendre rendez-vous auprès d’un centre de testing afin de réaliser le test PCR à J7. Cela se fait via le site brussels.testcovid.be
  • En Région wallonne : la lettre de l’équipe PSE permet aux parents d’obtenir un code CTPC (test PCR) via le site tracing-coronavirus.be avant de prendre un rendez-vous dans un centre de testing.

Tous les élèves d’une classe – vaccinés, non vaccinés, ayant eu une infection récente – sont concernés par la mise en place de l’Emergency Brake puisqu’il s’agit d’une mesure d’urgence qui vise à freiner la circulation du virus en fermant complètement la classe.

Les personnes positives qui étaient déjà en isolement ne peuvent donc pas retourner à l’école même si la fin de leur quarantaine prend fin durant la période de la fermeture de la classe.

Les personnes avec une infection récente (<180 jours) ne doivent pas se faire tester mais doivent également respecter la période de quarantaine.

Enfin, les membres du personnel encadrant en maternelle sont également concernés par cette mesure car ils ne portent pas de masque.

Les fermetures de classes sont décidées par l’équipe PSE dans le cadre de l’Emergency Brake. Il s’agit d’une fermeture pour raison sanitaire.

S’il est question d’une fermeture organisationnelle, elle est décidée et mise en place par la direction de l’école.

Lorsque vous mettez en place l’Emergency Brake, vous devez déterminer la période de quarantaine à partir de la date de fermeture de la classe.

Selon les procédures publiées sur le site de Sciensano, les tests antigéniques ne peuvent être utilisés que dans certaines conditions bien précises :

  1. Chez les patients symptomatiques (<5jours) qui se présentent dans les services d’urgence, centres de triage/test, médecins généralistes
  2. En cas de cluster dans le secondaire pour les contacts à faible risque. Et donc, PAS pour les contacts étroits ou cas index.

Quant aux auto-tests, comme indiqué sur le site de Sciensano, ils « ne peuvent pas être utilisés comme substitut au test dans un centre de test ou par un médecin pour une indication de test établie par exemple pour les personnes présentant des symptômes possibles de COVID-19 ou après un contact à haut risque ».

Enfin, pour toutes les autres indications, le test PCR est le test qui est recommandé. Cependant, un échantillon salivaire validé par test PCR peut être utilisé pour les personnes pour lesquelles un écouvillon nasal est difficile ou impossible à réaliser, notamment chez les jeunes enfants.

Un tableau de synthèse disponible sur Sciensano reprend toutes les stratégies de testing valides.

PSE : Appui aux écoles dans l’opérationnalisation des mesures

Les circulaires de l’Enseignement sont disponibles sur le site : http://www.enseignement.be/circulaires

En particulier :

  • Circ. 7691 : Stratégie dans le contexte du Covid-19 dans le fondamental + Erratum
  • Circ. 7686 : Stratégie dans le contexte du Covid-19 en secondaire + Errata
  • Circ. 7713 : Gestion des cas + erratum
  • Circ. 7719 : Mesures d’hygiène

Les enfants porteurs d’une maladie chronique doivent discuter de cette question avec leur médecin traitant, généraliste ou spécialiste. La Task Force de Pédiatrie a publié des recommandations pour orienter la fréquentation ou non de l’école pour ces enfants.

Une orientation rapide peut être donnée par ces deux questions :

  1. L’enfant fréquente-t-il l’école en période épidémique de grippe ? Si oui, il peut également fréquenter l’école en période épidémique de Covid-19.
  2. L’enfant est-il actuellement traité par fortes doses de corticostéroïdes ? Si non, il peut a priori fréquenter l’école.

La notion de bulle dans le fondamental n'est plus d'actualité. On travaille avec la notion de classe.

La circulaire concernant la rentrée dans le fondamental est la 7691 sur http://www.enseignement.be/circulaires

Non. Pour les élèves, l’obligation du port du masque peut être levée pour les personnes en situation de handicap, étant dans l’impossibilité de porter un masque ou si l’état médical de l’élève l’impose (cf circulaire 7686- addendum).

Non. Le gel hydroalcoolique est un désinfectant. Il est plus irritant pour les mains et est toxique en cas d’ingestion (alcool). Chez les enfants de moins de 12 ans, le lavage des mains à l’eau et au savon(flacon poussoir) est à privilégier autant que possible.

Non. Les services PSE ne sont pas compétents pour les internats.

ATL-Accueil Temps Libre : Qui contacter ?

Par ordre de priorité :

  • Je consulte le site ONE et ses FAQ ;
  • Si je suis un opérateur agréé, reconnu ou déclaré à l’ONE :
    •  je remplis le formulaire E-form disponible en ligne
    • je peux joindre la cellule COVID-19 de la direction par téléphone, du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 15h30 aux numéros suivants :
       
      • 02/436.97.25 :
        • Lundi AM et PM
        • Mardi AM
        • Mercredi AM
        • Jeudi AM
           
      • 02/436.97.26 :
        • Lundi AM et PM
        • Mardi AM et PM
        • Mercredi AM et PM
        • Jeudi AM et PM
        • Vendredi AM et PM
  • Je contacte le coordinateur ATL (CATL) de ma commune ou à défaut le service communal compétent ;
  • Enfin, si vous n’êtes pas agréé, reconnu ou déclaré à l’ONE, le référent auprès de l’Administration FWB dont vous dépendez pourra vous informer et vous accompagner ou à défaut, la cellule santé COVID-19 de l’ONE via le formulaire E-form disponible en ligne.

ATL-Accueil Temps Libre : Protocole à partir du 22 mars 2021

Pour bénéficier des subsides, il faut normalement avoir accueilli, en moyenne par semaine, au moins 13 enfants. Dans la pratique, tout opérateur qui n’a pas la possibilité d’organiser simultanément durant la même semaine 2 bulles (ou plus) pour atteindre la moyenne d’accueil de 13 enfants par jour (moyenne calculée sur la semaine) devra remplir un formulaire COVID-19 et sera subventionné sur base de son activité 2019 à hauteur des frais faisant l’objet de justificatifs.

Prendre contact avec le service CDV pour toute question complémentaire.

A noter que pour l’accueil des enfants en situation de handicap, pour bénéficier des subsides, il faut avoir accueilli, en moyenne par semaine, au moins 10 enfants.

OUI. A noter que les bulles ne peuvent avoir de contact entre elles et ne peuvent pas se mélanger.

NON, s’il s’agit d’enfants de moins de 6 ans.
La norme en vigueur est un animateur par groupe de 8 enfants, si un ou plusieurs des enfants sont âgés de moins de 6 ans.

OUI, s’il s’agit d’enfants/jeunes de plus de 6 ans.
La norme en vigueur est : un animateur par groupe de 12 enfants de 6 ans et plus.

NON, pour les plaines de vacances, il faut au moins trois périodes de fonctionnement de 5 jours par an (hors vacances d’automne et congé de détente), dont 2 consécutives pendant l’été, avec sept heures minimum d’ouverture par jour. En d’autres termes, il doit y avoir 3 semaines d’activités sur l’année dont une période de 2 semaines consécutives en été.

L’opérateur en difficulté avec cette règle peut prendre contact avec le service CDV.

NON, pour autant qu’il organise 7 semaines d’accueil au total sur l’année en période de vacances scolaires. L’accueil de vacances peut donc être réparti sur les autres semaines de vacances durant l’année (vacances d’automne et congé de détente compris).

NON, sauf si la fréquentation des vacances de printemps 2021 est supérieure à celle de 2019.

Les opérateurs ayant rentré une déclaration d’activités pour les vacances de Printemps 2021 seront subventionnés sur base de leur activité en 2019.

Si l’opérateur comptabilise moins de 220 jours d’activités au total en 2021, il remplira un formulaire COVID-19 et sera subventionné sur base de l’année 2019. C’est le même procédé lorsque la fréquentation est insuffisante.

L’arrêté ministériel du 20 mars 2021 réduit les groupes accueillis à 10 enfants/jeunes. A partir du 11ème, du 21ème, … il faut créer une nouvelle bulle/nouveau groupe.

ATL-Accueil Temps Libre : Equipe d’encadrement

Chacun a été affecté par cette crise. L’attention au bien-être de l’équipe d’encadrants est fondamentale. Le document ONE "Pistes pour un temps de rencontre avec les accueillants / les animateurs" vise à aider à retrouver de la sérénité au sein de l’équipe.

Il est important de prendre soin de l’équipe, de ses collègues et de vous-même en tant que responsable en vous autorisant à parler des ressentis durant cette période. En effet, en prenant soin de vous, en accueillant vos émotions, vous serez certainement plus à même d’accueillir l’enfant et sa famille. Votre Pouvoir Organisateur, la coordination accueil de l’ONE (la Conseillère EDD ou la coordination régionale pour les EDD), le conseiller pédagogique de l’ONE, la coordination ATL de la commune, un service de santé mentale, …  peuvent également vous épauler dans cette démarche.

Comme pour tout changement du projet d’accueil et des pratiques, des échanges en équipe sont nécessaires. Il est recommandé que la reprise soit progressive et qu’elle tienne compte des ressources disponibles.

 

Par groupes à risque, on entend les personnes âgées de plus de 65 ans, des personnes diabétiques, présentant des maladies cardiaques, pulmonaires ou rénales et les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

Si dans l’équipe d’encadrants, une personne est à risque, elle est invitée à prendre contact avec son médecin traitant au préalable pour avis sur les mesures à prendre.

Il est tout à fait déconseillé de travailler pour plusieurs opérateurs ou dans des bulles différentes.

ATL-Accueil Temps Libre : Précautions sanitaires, mesures générales d’hygiène, gestes de protection, santé/soins

Attention que l’alcool ou la javel ne sont pas conseillés pour le nettoyage. Il est donc nécessaire d’effectuer un nettoyage préalable avec un simple détergent avant l’utilisation de ces produits.

Les problèmes liés à la javel sont principalement dus aux émanations de chlore, c’est pourquoi il est demandé d’aérer les locaux lors de son utilisation. Nous communiquons par ailleurs des précautions d’usage préventives.

Il est possible d’utiliser également les ammoniums quaternaires mais ils doivent être autorisés par le SP Santé publique de type 2 pour les sols et les surfaces et de type 4 pour les surfaces en contact avec les denrées alimentaires. De plus ils doivent être virucides et efficaces contre le Covid19. 

Un enfant qui est en contact (à l’accueil, dans le ménage) d’une personne qui est elle-même un contact étroit asymptomatique d’un cas COVID-19 confirmé, peut participer aux activités ATL. Il n’y a aucune mesure à prendre.

ATL-Accueil Temps Libre : Gestion des cas

L’enfant est écarté.

Le groupe continue ses activités et l’opérateur se tient prêt à réagir tout de suite au cas où il y aurait une confirmation de cas COVID-19. Il est nécessaire de garder un lien direct avec les parents de l’enfant testé et que ceux-ci puissent communiquer les résultats à l’opérateur dès que possible.

Lorsque deux cas sont confirmés dans un même groupe, il y a lieu de contacter l’AVIQ ou la COCOM. La liste des participants à l’activité doit pouvoir leur être transmise sur demande.

Quand un cas est confirmé et que l’enfant/jeune a fréquenté l’accueil au cours des 2 jours qui ont précédé l’apparition des symptômes, ses parents et/ou l’AVIQ (Région Wallonne) / COCOM (Région de Bruxelles-Capitale) informent le responsable santé-soin de l’opérateur.

Si vous êtes un accueil extrascolaire et que vos activités se déroulent à l’école durant les périodes de cours, c’est le service PSE qu’il est nécessaire de contacter.

Si vous êtes un opérateur de l’accueil temps libre (accueil extrascolaire hors implantation scolaire, EDD, centre de vacances, …) vous pouvez-vous demander conseil à sante-ATL(at)one.be

ATL-Accueil Temps Libre : Activités physiques et sportives

Les activités physiques et sportives sont interdites pour les jeunes à partir de 13 ans.

Pour les enfants fréquentant l’enseignement fondamental, les activités physiques et sportives en plein air doivent être privilégiées. Les sports de contacts (judo, basket, … ) sont déconseillés à l’intérieur.

Les vestiaires peuvent être utilisés et les enfants doivent se laver les mains avant et après s’être changés.

Les locaux (salles et vestiaires) doivent être aérés régulièrement et nettoyés quotidiennement.

Les encadrants respectent les distances physiques en toutes circonstances à l’intérieur et à l’extérieur. A l’intérieur, les encadrants portent le masque mais peuvent l’ôter pendant un effort physique.

Les piscines étant fermées, les activités à la piscine sont suspendues.

Tous professionnels

Certaines activités telles que celles organisées par les opérateurs de formations ou les Lieux de Rencontre Enfants-Parents (LREP) ont repris progressivement et sous certaines conditions.

Suite aux mesures prises par le Conseil National de Sécurité (CNS) le 27 juillet, de nouvelles adaptations ont dû être effectuées, notamment pour les LREP. Pour plus de précisions, nous vous invitons à relire les communications ad hoc qui vous ont été transmises par mail.

 

 Selon Sciensano, les symptômes les plus fréquents sont :

  • Toux ;
  • Difficultés respiratoires ;
  • Douleur thoracique ;
  • Perte de goût et/ou d’odorat sans cause apparente ;

Mais d’autres symptômes doivent également être pris en compte tels que :

  • Fièvre ;
  • Douleurs musculaires ;
  • Fatigue ;
  • Rhinite (encombrement ou écoulement nasal) ;
  • Maux de gorge ;
  • Maux de tête ;
  • Perte d’appétit ;
  • Diarrhée aqueuse sans cause apparente ;

Chez les personnes présentant des symptômes respiratoires chroniques (toux chronique, asthme…), toute aggravation de leurs symptômes habituels peut être un signe d’infection COVID-19.

Chez les enfants, la fièvre seulement sans cause apparente suffit également pour envisager le diagnostic de COVID-19. Les mêmes symptômes que chez l’adulte peuvent apparaitre mais certains sont difficilement observables selon l’âge (notamment chez les enfants en bas-âge).

S’agissant d’un nouveau virus, cette liste de symptômes n’est pas exhaustive, et est actualisée au fur et à mesure des connaissances acquises sur le virus. Dans le contexte actuel d’épidémie, nous appelons donc à la prudence.

Téléchargez le document "La fièvre chez l'enfant". 

Pour rappel : il n’est pas recommandé de prendre systématiquement la température de l’enfant à son arrivée, ni de prendre systématiquement la température deux fois par jour à un enfant en bonne santé. La prise de température doit se faire si l’enfant montre des signes de fièvre tels que : irritabilité, pleurs, altération de l’état général,…

Les études ont mis en évidence que les personnes atteintes de COVID-19 peuvent être contagieuses même si elles n’ont pas de symptômes, juste avant d’être malades (2-3 jours avant). De plus, il existe également des personnes contaminées qui ne développent pas de symptômes (porteurs asymptomatiques). Par principe de précaution, le port du masque généralisé, et pas seulement par les personnes malades symptomatiques, constitue donc une barrière utile pour diminuer la transmission du virus dans la population. Le port du masque par la population générale a donc été inclus dans la stratégie de santé publique choisie par le centre de crise fédéral et le Gouvernement fédéral l’a rendu obligatoire dans les lieux et les espaces publics (les transports en commun, les magasins,…).

Les masques FFP2 et chirurgicaux restent destinés en priorité aux professionnels de santé qui prodiguent des soins à des patients infectés.

Le port du masque est une mesure supplémentaire qui complète les gestes barrière mais ne se substitue en aucun cas aux autres mesures d’hygiène des mains, de distanciation physique, et aux mesures organisationnelles, sanitaires, d’hygiène et de nettoyage recommandées aux collectivités d’enfants.

Les enfants en âge d’école primaire ne doivent pas porter de masque. Les jeunes en âge d’école secondaire (à partir de 12 ans) doivent le porter.

Le port du masque chez des enfants en bas-âge et jeunes enfants n’est pas recommandé.

Ce type de masque ne convient pas aux enfants de moins de 2 ans (à cause du risque d’étouffement) et l’efficacité est moindre chez les enfants de manière générale (difficultés de respecter les règles d’hygiène strictes nécessaires à sa bonne utilisation).

 

 

AVANT :

  • Se laver les mains
  • Manipuler le masque par les élastiques ou les rubans et ne pas toucher l’intérieur
     

PENDANT :

  • Bien recouvrir le nez et la bouche jusqu’au menton
  • Éviter de toucher le masque
  • Si on le touche par inadvertance, se laver les mains
     

APRÈS :

  • Se laver les mains avant de toucher le masque
  • Retirer le masque par les élastiques
  • Le mettre dans un récipient de transport lavable
  • Ne pas le mettre en poche
  • Se laver les mains après l’utilisation du masque
     

De manière générale :

  • Ne pas se toucher les yeux, le nez et la bouche pendant l’utilisation du masque (que ce soit au moment de la mise en place, pendant son utilisation ou lors du retrait)
  • Laver le masque à 60°ou à une température plus basse avec du détergent/savon et le repasser ensuite à haute température
  • Ne pas l’utiliser plus de 8 heures
  • En toutes circonstances, le remplacer dès qu’il est taché, humide ou détérioré
     

Porter et entretenir un masque en tissu de manière efficace (affiche)

 

AVANT :

  • Se laver les mains
  • Manipuler le masque par les élastiques et ne pas toucher l’intérieur
  • Positionner le masque de façon à ce que la face colorée soit à l’extérieur, la face blanche en contact de la peau
     

PENDANT :

  • Positionner le masque de façon à ce que la partie métallique soit placée au-dessus du nez
  • Bien recouvrir le nez et la bouche jusqu’au menton
  • Pincer au niveau du nez pour augmenter l’étanchéité
  • Éviter de toucher le masque
  • Si on le touche par inadvertance, se laver les mains
     

APRÈS :

  • Se laver les mains avant de toucher le masque
  • Retirer le masque par les élastiques
  • Le jeter directement dans une poubelle qui peut se fermer
  • Ne pas le mettre en poche
  • Se laver les mains après la manipulation
     

De manière générale :

  • Ne pas se toucher les yeux, le nez et la bouche pendant l’utilisation du masque (que ce soit au moment de la mise en place, pendant son utilisation ou lors du retrait)
  • Ne pas l’utiliser plus de 8 heures
  • En toutes circonstances, le remplacer dès qu’il est taché, humide ou détérioré
     

Porter un masque chirurgical de manière efficace (affiche) :

Un nettoyage avec un simple détergent est nécessaire avant l’utilisation de produits désinfectants.

Les problèmes liés à la javel sont principalement dus aux émanations de chlore, c’est pourquoi il est demandé de ne pas l’utiliser en présence des enfants et d’aérer les locaux lors de son utilisation. Nous communiquons par ailleurs des précautions d’usage préventives :  Téléchargez le document sur les mesures générales d’hygiène et de nettoyage du milieu d’accueil de la petite enfance (mise à jour : 2 septembre).

À défaut, vous pouvez utiliser un produit virucide à base d’ammonium quaternaire autorisé par le SPF Santé publique : de type 2 pour les sols et les surfaces et de type 4 pour les surfaces en contact avec les denrées alimentaires. Vous trouverez la liste des produits autorisés en Belgique via le lien suivant : http://docs.health.belgium.be/ActiveProducts.pdf

Nous vous rappelons de bien respecter le mode d’emploi des produits utilisés.

Le suivi des contacts est une méthode permettant d’identifier les personnes qui ont été en contact avec un porteur, confirmé ou très probable du Covid-19. Pour dépister ces personnes, il est important de pouvoir les informer qu’elles ont été en contact avec un porteur du virus et leur donner les conseils adaptés. Chacun peut ainsi faire particulièrement attention à son hygiène personnelle et contribuer à ralentir la propagation. 

Pour plus d’infos, consultez le site internet www.info-coronavirus.be

Si vous présentez un des symptômes liés au coronavirus, contactez votre médecin traitant. Celui-ci décidera éventuellement de vous faire faire un test de dépistage. Dans ce cas la démarche est la suivante :

  • Isolez-vous à la maison.
  • Essayez de faire une liste des personnes avec lesquelles vous avez eu des contacts au cours des deux jours précédant vos symptômes (par exemple : les membres de votre famille, vos collègues, un ami ou une amie avec lequel/laquelle vous avez fait une promenade, le facteur à qui vous avez parlé, …).
  • Si cela est possible, votre liste devrait reprendre, si vous les connaissez, le nom, le numéro de téléphone, l’adresse postale, la date de naissance, et l’adresse email de ces personnes de contact.
  • Si le résultat est positif, vous et vos contacts recevrez un appel ou une visite d’un collaborateur des autorités et le tracing débutera.

Il est important que vous répondiez à ses questions de la manière la plus complète possible :

  • Il ou elle vous demandera la liste des personnes de contact que vous aurez constituée.
  • Vous devrez également donner des informations sur vous-même, pour que votre situation puisse être évaluée concrètement : votre date de naissance, votre état de santé général, votre emploi, vos contacts avec des personnes à risques, etc.

Ces données seront traitées en toute confidentialité (voir question ci-dessous). Grâce à votre collaboration, les personnes avec lesquelles vous aurez eu des contacts seront averties à temps et pourront être vigilant à l’apparition d’éventuels symptômes.

Pour plus d’infos, consultez le site internet www.info-coronavirus.be

 Vos données seront traitées de manière totalement confidentielle.  

  • L’information que vous transmettez ne sera utilisée que pour transmettre les conseils adaptés à vos personnes de contact. Cela vous permet de contribuer à freiner la propagation du virus.
  • Seul le service compétent aura accès à votre liste de contacts. Ni votre travail, ni votre famille, ni votre école, ni la police, ni d’autres autorités publiques ne pourront la consulter.  
  • Les personnes de votre liste de contact ne seront pas informées de votre nom lorsqu’elles seront appelées. Vous resterez anonyme.
  • Le collaborateur qui appellera les personnes de votre liste de contact est tenu au secret professionnel et vos données sont conservées dans une base de données sécurisée.
  • Les informations que vous transmettez ne seront pas utilisées pour vérifier que vous respectez bien les mesures. Elles ne sont pas partagées avec la police, la Justice ou un autre service de contrôle.

Pour plus d’infos, consultez le site internet www.info-coronavirus.be

Vous pouvez être contacté de différentes manières : par téléphone via le numéro 02/214.19.19 ou par SMS via le numéro 8811. Ce sont les seuls numéros qui seront utilisés. Un agent de terrain peut également venir chez vous, uniquement dans le cas où le call center n’a pas réussi à vous joindre par téléphone à plusieurs reprises (appel passé du 02/214 19 19).

Pour plus d’infos, consultez le site internet www.info-coronavirus.be

L'isolement d’une personne testée positive est levé au plus tôt 10 jours après l'apparition des symptômes à condition d’être sans fièvre les 3 derniers jours et avec une amélioration des symptômes.

S’il s’agit d’une personne sans symptômes, testée car elle était contact étroit d’un cas confirmé COVID-19 et dont le résultat est positif : l’isolement est levé 10 jours après la date de réalisation du test.

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